#destin amoureux
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Goddess
Starcrossed, tome 3,Josephine Angelini tome 1 tome 2 PrésentationAfter accidentally unleashing the gods from their captivity on Olympus, Helen must find a way to re-imprison them without starting a devastating war. But the gods are angry, and their thirst for blood already has a body count.To make matters worse, the Oracle reveals that a diabolical Tyrant is lurking among them, which drives a…
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#Adolescent#Aventure#Destin#Dieux#Famille#Fantastique#Guerre#Héroïne#Inceste#Josephine Angelini#Liquidation de la liste d&039;envies qui date de 10 ans#Mythologie#OuaisList#Starcrossed#Triangle amoureux
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Passif, actif, réflexif: victimisation, culpabilité, responsabilité
La plupart "des choses décisives qui nous arrivent" comme tomber amoureux ou tomber malade par exemple, cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de conférer un minimum de sens et de cohérence à notre existence, d’en faire un récit convaincant nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous sommes le plus souvent les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre que la posture de "victime" offre une échappatoire commode au sentiment de culpabilité: si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...
L’impasse "culpabilité ou victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration, c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... (comment ne pas mieux saisir dès lors l’importance dans l’idéologie contemporaine de la profusion des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en maintenant l’effroi, afin de maintenir le plus grand nombre possible de nos concitoyens en suggestion de victimisation, qui à tout prendre, puisqu’elle est "reconnue", semble préférable aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc plus dès lors pour le sujet qui en émerge rien d’autre au monde qu’un objet petit a, selon l’équation de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung.
Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective ouverte par Kant de la sortie de notre propre "minorité"... Sapere Aude. Scilicet.
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Je me dépêche, j’suis en retard
J’ai rendez-vous dans un regard
Un regard doux plein de tendresse
Un regard fou plein de caresses
Je veux le couvrir de jolies fleurs
D’un parfum aux senteurs de bonheur
De mes fous baisers sur son cœur
Qui vont nous emporter ailleurs
Là où le ciel est toujours bleu
Là où le soleil brille de mille feux
Là où les orages n’existent pas
Là où je serai l’ombre de ses pas
Nous marcherons main dans la main
Nous vibrerons de trois fois rien
Juste des doigts qui s’entrelacent
Et deux belles âmes qui s’embrassent
Nous voyagerons dans l’infini
En faisant fi des interdits
Nous les piétinerons de nos rires
Pour les classer dans nos souvenirs
Nous vivrons enfin de nos désirs
Pour nous combler de l’ultime plaisir
D’être deux amoureux sur un chemin
Qui savourent leur véritable destin..
La Miss’🦋
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Do you have any secret tips for restaurants or cafés for a trip to Paris?
Dear Paris Anon,
I am happy and amused you ask me this question. Happy, because I have been calling Paris home for six years: that means there are places where I was madly kissing a beautiful (and cruel) boy from Bastia, places where I walked at night drunk as a boiled owl with people who are still in my life, places where I regularly went shopping or having an endless coffee with friends and places I was entrusted with, like precious jewels. Amused, because to be honest, Paris is probably the last French destination I could think of for an enjoyable week-end en amoureux (I suppose you want to go as a couple?), right now: it is overpriced as hell (the Olympics are round the corner), dirty and seedy (I was shocked, last time I visited and Manu Macron, my old acquaintance of yore, spoke about parking all the homeless outside of town during the Games 'for aesthetic reasons' - the boy never had a sense of humor, trust me on this one).
I shall give you 5 restaurants and 5 cafés (oh God, why didn't you ask me about Bangkok, instead?). Many of them are on the Left Bank (all of my addresses were there, simply because the closer to the university, the better).
Five restaurants: as it happens in Rome (where the gap is truly tragic), I will try and recommend places where locals go. You will find a menu in English everywhere, but at least try the holy trinity of bonjour, l'addition (the check) et merci. All the Parisian waiters are sourer than the Politburo and insolent as highway robbers, but do not be deterred by their manners. Order away.
Le Relais de Venise - son entrecôte (271 Bd Pereire, 75017). It is not in the center. They do not take reservations. You will be met with a long line of people patiently waiting (Seinfeld style) to get in. They have a minimal set menu (which is always a very good sign: https://relaisdevenise.com/menus/set-menu.php). The waitresses are kind and dressed like 1920's maids. It will be the damn best entrecôte-frites you've ever had (their sauce is a secret). Nothing changed there since 1959. Double check opening times and plan accordingly: you will need a taxi and plenty of time ahead. Almost a bargain for its stellar performance. The London one is a sad spin off.
Le Soufflé (36 rue du Mont Thabor, 75001). An original choice, but oh so good! They only cook soufflés (not exactly a pudding, but a pudding angels must have on a daily basis). Very reasonably priced for Paris (set menus at 40 and 55 euros - https://www.lesouffle.fr/bienvenue/home/menu/). If you want to eat à la carte, I recommend le soufflé Henri IV (cheese soufflé with chicken & mushrooms sauce) : it is heaven.
La Jacobine (59-61 Rue Saint-André des Arts, 75006). You will find tourists in this one, it is always full. Service is impeccable. Do not bother with Le Procope round the corner: it used to be one of my haunts, but this is over. The best soupe à l'oignon (onion soup, notoriously hard to cook) I ever had (yes, they still add white wine!). I would also recommend the magret de canard sauce aux cèpes (duck breast with a porcini mushrooms sauce). I could not find a decent menu, but that should give you an idea - they don't have a website (https://eater.space/la-jacobine). Very reasonably priced, too - and very, very good.
Chez Julien (1, rue du Pont Louis-Philippe, 75004 Paris). This is one of my mum's favorites. It is open only in the evenings, but it is an excellent choice if you want to call it a night, because it has service continu (all night long, wow!). It is more expensive - this is, after all, the Right Bank, so expect prices to go drastically up. This is the only option serving wonderful breakfasts, so I beg you: have breakfast in town at least once, Paris hotels tend to do it on the sad and sorry side (https://www.chezjulien.paris/en/home#menu-en). Pair anything you pick with a glass of Pouilly fumé white wine (it goes with anything, it is that magically good).
Money is no object? Entice the guy to take you at (I am torn, here, to be honest) La Tour d'Argent (19 Quai de la Tournelle, 75005). It is very expensive (like VERY), but it is worth every penny (https://tourdargent.com/wp-content/uploads/2023/09/LTDA-SEPTEMBRE-EN.pdf). You must (it's an order!) order the canard au sang (you will find it on the menu under the entry Duckling Frédéric Delair and it is outrageously priced). But you will never have a chance to see the table show anywhere else (it is served in two times: first the fillet and then the legs and it uses a sort of Medieval contraption, to get the blood out for the sauce) - just a specialty from Normandy, you will not find in Rouen anymore. It is divine. They have been there since 1583. What are you waiting for? (for a less break the bank option, try Le Grand Véfour, near the Louvre - google it, it will take forever to explain why).
Four cafés and a salon de thé (tea parlor) : all are haunts of mine. In every single one of them something very personal happened to me. Consider yourself lucky. On a more practical side, all of them double as excellent lunch options, for a fraction of what you would spend in a restaurant. :)
Chez Carette (4 Pl. du Trocadéro, 75016, but also Place des Vosges, with a nod to C). You will have an exceptional choice of anything you could think of and the same Roaring Twenties atmosphere as in the Relais de Venise restaurant. The chocolat chaud (hot chocolate) is almost perfection (do NOT go to Angelina, on the rue de Rivoli, that is another favorite which went south and not in a good way). The best macarons you will find North of Saint Jean de Luz's Maison Adam (where the story of macarons began in earnest). This is Someone's favorite, but then he always was a Right Bank purist. Service is old school, which means supremely kind, if only a bit on the slow side: you are in France, soak it in!
Les Deux Magots (6 Pl. Saint-Germain des Prés, 75006). On the Left Bank in the publishing houses district. This is my second favorite (there is a first favorite) and you will likely find me on the heated terrace with a cigarette and a newspaper, if I were there. Service is appalling, but you should not mind, I have warned you. Reasonably priced for what and where it is. Breakfasts are mediocre, but still enjoyable and lunch/dinner menus are typical brasserie fare - you are not there for the food, you are there to cosplay Jean-Paul Sartre and Simone de Beauvoir and act intellectual and sophisticated and have endless talks about the world's destiny (https://lesdeuxmagots.fr/en/breakfast-menu/). If nature calls, head downstairs with an air of intrinsic superiority and don't forget to pay the grumpy dame pipi (toilet lady), who will give you what you need and look at you like you are the scum of the Earth. Always makes me laugh.
Le Café de l'Epoque (2 Rue du Bouloi, 75001). On the Right Bank, at the end of one of the most beautiful passages couverts (glass-roofed passageways) of Paris. Again, you are there for the supremely dreamy atmosphere, I can only fail to describe. Look on the map for all of these passageways and then get lost in the maze of stamp shops, bookstores, taxidermists and God only knows what else you could think of (or at least add to this passageway the Galerie Vivienne). Usual brasserie/bistro fare, reasonable prices (https://cafedelepoque.fr/en/services). The lemon meringue pies are to die for.
Café Le Rostand (6 Pl. Edmond Rostand, 75006). Steps away from the Luxembourg Gardens, which I crossed every single day to go to the uni. Steps away also from the secret and sublime Medici fountain in above park (oh, the things I did there!). Surprisingly good French fare, the beef tartare is excellent (a rare thing!) and well priced (https://lerostand.fr/carte/ - use Google translate, they don't care for tourists). Service is cheeky. Round the corner, one of the most charming shops in Paris, Parapluies Simon (56 Boulevard Saint-Michel, 75006) - only umbrellas and dandy walking sticks (you can hide a whisky mini flask in one of them, I am told by Someone on the phone, but I think he is trolling us - we love that shop).
The Tea Caddy (14 Rue Saint-Julien le Pauvre, 75005). It's been there since 1928, when a certain Miss Klinklin opened it and introduced the Devon scones to France. It is my favorite favorite (https://the-tea-caddy.com/en/tea-room/) and it is perfect on a rainy day. Steps away from the Medieval church of Saint-Julien-le-Pauvre, one of the most authentic and moving experiences of its kind in a very secular town. The Shakespeare & Co. bookstore is just round the corner. A rare gem of a place.
I could go on and on and on. Three more short tips and you will thank me for it, as alternatives to deceiving mainstream options:
The Musée de l'Orangerie instead of The Louvre. Blasphemy? Intense perfumes come in small bottles. It is breathtaking (https://www.musee-orangerie.fr/en).
Château de Rambouillet instead of Versailles (you will not be able to enjoy it AT ALL). Where else could you find Marie Antoinette's private 'milk bar' (La Laiterie de la Reine/ The Queen's Dairy), a supremely elegant affair, with milk-spouting fountains, built to encourage hygienic milk consumption as an alternative to breast-feeding (she was unable to). Trust me and plan a full day for it (https://www.chateau-rambouillet.fr/en/discover).
La Sainte-Chapelle instead of Notre Dame. I always preferred it to anything else, except perhaps Vézelay (far, far away from Paris). It will shock you, but in such a perfect way (https://www.sainte-chapelle.fr/en). Enough said: I will let you discover. Across the Seine, couple this visit with the Musée de Cluny and tell The Lady and the Unicorn I miss them (https://www.musee-moyenage.fr/en/).
I am not sorry for the length of this post. At all. I hope you will enjoy this modest, but very personal selection and perhaps you will come back and tell me if it was worth something. Bon voyage!
Notre Dame on a snowy evening, Paris 1953
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Nouveau récit de mon chemin vers le Candaulisme...
Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
toujours sur la route de l’Espagne...
Avant même de vous narrer la suite et la fin de la soirée avec Bob et ses amies, je voudrais devancer une étape qui n’est pas directement « mon Candaulisme » mais plutôt je pense, vous pourrez me dire ce que vous en pensez, celui des autres...
Il existe aussi et quand on est comme moi sensible et amoureux de cette pratique, de cette philosophie, on peut le voir partout et il est tout aussi important de le faire vivre, de le remarquer et d’être capable de le voir...
Aussi, nous avions prévu avec Ana, après cette nuit de folie passée avec Bob et ses amies, de faire une halte sur la route de nos vacances qui devaient nous mener en destination finale à Grenade en Espagne.
Mon amie, professeure d’Espagnol voulait absolument visiter l’Alhambra et mieux cerner les impacts de la culture Arabe en Espagne ainsi que connaître la culture Andalouse.
Moi, je suivais..., intéressé et curieux d’à peu près tout...et surtout si amoureux d’elle et de tout ce qu’elle me permettait de découvrir, avec elle, sur moi, sur les autres, sur le monde, sur le sexe...
Bref autant de choses que dans un couple « classique » il n’est peut-être pas possible d’appréhender tout autant... ?
Depuis notre Normandie natale, le chemin était long et les étapes nécessaires.
Ainsi, Toulouse, Perpignan, maintenant Tarragone, Madrid et enfin Grenade...
Cinq étapes, 1700 kilomètres environ, me semblaient tout à fait correct surtout que nous étions en vacances...
Aussi, après Perpignan, ce fut Tarragone.
Ana avait aussi choisi cet endroit car en bord de mer, nous aimions la mer elle comme moi, et avait-elle lu beaucoup d'articles intéressants concernant Tarragone. De nombreux vestiges Romains à voir, une culture de la fête (et même un Musée de la Fête) dont notamment la réalisation festive de ces pyramides humaines, plutôt des châteaux humains (tradition commune aussi avec l’Italie et essentiellement Catalane) nommé « Castelles ».
Elle voulait voir ce spectacle en réel et pourquoi pas tenter d’y participer... ?
La route fut tranquille et agréable même si la chaleur présente de ce milieu d’été nous rendait assez nonchalants l’un et l’autre et que les effets de la soirée de la veille dans cette cahute de la SNSM avec Bob et ses amies se faisaient manifestement sentir.
Ana, comme très souvent et presque toujours, surtout dès qu’il faisait plus de trente degrés, était vêtue d’une très légère et courte robe d’été qui lui allait à merveille et lui rendait moins pénible le voyage...
Nue en dessous ou plutôt sans dessous bien évidemment !
C’était notre code commun de l’été...Et , elle comme moi y veillions!!
Pieds nus et cheveux défaits, elle était superbe.
Souvent aussi, elle posait ses pieds sur le tableau de bord et je ne manquais pas d’admirer ces jambes oblongues et parfaites...
Quelques fois le tissu glissait aux confins de ses cuisses et c’était réellement un bonheur et un spectacle que de la voir ainsi...
La vitesse étant limitée à 120 kilomètres heures sur les autoroutes d’Espagne, je conduisais sans aucun stress tout en m’amusant du fait que lorsqu’Ana se positionnait comme cela et parfois même s’endormait, les camionneurs que je doublais, perchés dans leurs cabines, manquaient rarement de klaxonner, ravis de la vue que la situation pouvait leur offrir un instant en passant...
Cela réveillait immanquablement Ana, qui parfois râlait d’avoir été réveillée mais aussi me l’avoua-t-elle, parce qu’elle n’avait pas pu elle aussi profiter et jouer de l’instant et de ses incroyables et érotiques attraits.
Elle aimait réellement être le centre de l’attention et son côté exhibitionniste avéré et assumé la titillait souvent et ne me déplaisait nullement pour notre plus grand bonheur et notre complicité.
De la pointe de ses pieds au sommet de sa chevelure brune c’était une bombe sexuelle...
Un bouquet d’amour...
Une convocation perpétuelle aux agapes sensuelles et sexuelles...
Chaque parcelle de sa peau était une publicité érotique et une invitation aux pensées lubriques...Je n'avais jamais rencontré d'amis qui ne me l'ai avoué ou plus ou moins fait savoir: "Waaoooua , ta copine...!"
Pour les autres, leurs yeux et leurs comportements suffisaient à eux seuls...
À eux seuls, ses seins galbés et libres dans cette robe légère étaient une invitation à toutes les pensées diaboliques...
Alors, vous pensez, ses jambes bronzées et dénudées, sa chatte lisse juste surmontée d’un triangle soigneusement entretenu, sans parler de son cul rebondi à souhait qu’elle dévoilait parfois dans ces moments-là à ces camionneurs, stakhanovistes du bitume rarement bien considérés et rétribués, étaient un pur instant suspendu, un incroyable « butin », une chance impensable, un vrai ticket de loterie au regard des milliers d’autres personnes, femmes et hommes, que pouvaient croiser ces galériens de la route au quotidien si routinier et très certainement rengaine ...
Souvent quand je les doublais, elle faisait semblant de se pencher pour rechercher quelque chose sur la banquette arrière, assurant un flottement savant et pensé de sa robe jouant avec l’air des vitres ouvertes sur et dans sa raie marquée de son entre-fesses...
Cela n’en laissait, croyez-moi aucun indifférent!
Moi le premier... ! J'adorais tellement bander...Comme tout homme me direz-vous mais peut être encore plus depuis que je me savais Candauliste.
L’adresse de ses mains (parfois elle invitait également la mienne) titillant son écrin d’amour était réellement à voir et à admirer...
Bref , oui, elle savait jouer de ses charmes et de ses envies pour rendre fous les hommes (parfois les femmes...On venait réellement de le constater avec Clara et Laura , les amies de Bob le soir d’avant...Je vous raconterai...).
-« Le prochain routier qu’on dépasse, tu me dis et tu me réveille avant...Je vais le faire bander crois-moi...Il va payer pour les autres qui m’ont réveillée...Je vais le rendre fou...Tu resteras à sa hauteur, tant pis si ça râle derrière, et je lui ferais un striptease et le coup de la femme exhib...T’inquiète...Tu te régaleras aussi mon chéri... ! »
Je ne pouvais en douter un instant d’autant qu’on avait déjà joué à ce jeu un jour en Bretagne et que le conducteur du camion avait réellement faillit avoir un accident tant il ne faisait plus assez attention à la route, ce con !
-« Ok, promis , Bébé...! Promis dis-je en riant... »
Quelques hectomètres suffirent et j’avoue qu’elle sut y faire...
Le routier n’arrêta pas, une fois qu’on l’eut dépassé, lentement dépassé sur plusieurs kilomètres, de klaxonner, de faire des appels de phares, de mettre son clignotant pour nous indiquer qu’il voulait s’arrêter...
Mes doigts enserrés dans son con bien ouvert, humides et si délicieusement chaud, je ne pouvais de toutes manières pas m’arrêter...
Ce n’était d’ailleurs pas notre volonté ni celle d’Ana qui s’était doucement et tendrement repliée sur mes doigts encore enfouis en elle...J’étais au Anges...Elle se rendormit...
Il nous restait une centaine de kilomètres avant d’arriver à Tarragone...
Nous avions réservé un airbnb en centre-ville, il y avait un parking à proximité et c’est juste à côté de la Cathédrale, sur la place où avait lieu généralement les fêtes.
Notre hôtesse était une femme d’une soixantaine d’années magnifiquement conservée (elle devait réellement avoir été belle dans sa prime jeunesse).
Elle nous aida à nous installer, nous fit l’article des plus belles choses à voir, nous conseilla quelques restaurant situés juste à côté et d’aller regarder le spectacle de la lune sur les flots ou sur le port situé juste au bout des ramblas... :
- « Ce soir c’est pleine lune, la lune bleue, nous indiqua-t-elle dans un français quasi parfait...Elle avait été par le passé pendant quelques années conseillère économique au sein de l’Ambassade d’Espagne à Paris, ville qui me manque parfois, nous avoua-t-elle... ».
Elle avait hérité et investit dans sa ville natale de Tarragone et était revenue y vivre avec son mari la retraite arrivée depuis trois ans maintenant.
Son mari était un ancien agriculteur des environs, vivait encore à la campagne voisine le jour et venait la rejoindre chaque soir au coucher.
Elle était réellement charmante et nous indiqua de ne pas hésiter à l’appeler si on avait un quelconque besoin.
« Même dans la nuit..., ici on ne se couche pas très tôt, on aime la fête et les gens...Dommage, la fête des Castells n’a lieu qu’en octobre cette année, il faudra revenir...et il n’y a pas de répétition sur la place...La nuit sera tranquille...Vous pourrez vraiment vous reposer si vous partez demain pour Madrid. Bonne nuit ! »
Nous étions installés dans un appartement situé au deuxième étage d’un vieil immeuble du début du siècle avec une avancée sur colonne constituant en dessous un passage sous voute.
L’appartement avait été refait à neuf à l’arrivée de Consuella, c’était son prénom, et était parfait.
En face du large espace constituant la place de la Cathédrale, un petit immeuble de même taille que le notre mais de style différent semblait inoccupé ou du moins très tranquille et sans vis à vis...
Ce serait parfait, il faisait encore chaud en cette longue soirée d’été et l’air de la mer voisine pourrait sans nul doute nous apporter un peu de fraîcheur dans la nuit. Nous pourrions sans problème dormir les fenêtres ouvertes...
Ana se précipita sous la douche en rigolant, me jetant un « Prem’s » hilare...
Elle était déjà entièrement nue.
Sa vitesse à se dénuder et à être aussi à l’aise m’avaient toujours sidéré...Il faut dire qu’elle était tellement belle et naturelle. Son éducation, contrairement à la mienne y avait sûrement beaucoup participé : ses parents professeurs étaient depuis toujours naturistes convaincus et passaient leurs étés sur les plages et les camps naturistes d’alors...J’appris par eux qu’il y avait même des campings et autres installations naturistes certifiées au-dessus géographique de Montauban..., ce qui pour moi était une impossibilité physiologique tant je craignais le froid... !
Pour autant Ana et ses frères avaient été bercés par ce mode de vie et ce rapport au corps qui je l’avoue m’avait interpellé puis plutôt convaincu...
Il n’en reste pas moins que Montauban fut et est toujours pour moi, même en nos nouvelles périodes de réchauffement climatique, une limite géographique , du coup peut-être psychologique, infranchissable.
Je rangeais nos affaires et ouvrais la fenêtre de l’appartement.
J’avais également envie et besoin d’un bonne douche et je rejoignis rapidement Ana...
Quelques baisers humides plus tard, elle sortit et m’attendit assisse engoncée dans une grande serviette moelleuse sur le rebord de la fenêtre.
Elle me proposa de nous habiller rapidement et de descendre manger dans un des restaurants indiqués par Consuella :
« Une bonne nuit de repos ne nous fera pas de mal mon amour me dit-elle, j’ai envie d’être cool ce soir...Pas toi ? «
Ce qui en langage de Ana signifiait, on mange on se couche tôt, on se câline et on se repose...
Le programme m’allait bien, même si de la voir se préparer et s’habiller devant moi et me demander quelle robe lui allait le mieux après en avoir essayé quatre ou cinq, sans compter quelles chaussures, un bracelet de cheville ou pas, ... entrainait toujours pour moi et en moi un sentiment Candauliste émergent et irrépressible...
Je me serais bien jeté sur elle pour lui faire l’amour, là, maintenant, mais elle m’échappait déjà en se tournant et regagnant la salle de bain.
Elle opta pour une robe courte, droite et fendue sur le côté, style « Romaine » qui lui allait magnifiquement et ajouta ce coup-ci sans me demander, un bracelet manchette du plus bel effet sur sa beau bronzée et son bras si parfaitement dessiné.
Je pensais en l’admirant qu’elle aurait été parfaite pour une soirée Romaine et mon esprit plus que coquin se projeta même jusqu’à l’orgie...
Était-ce le passé de Tarragone, ancienne ville Romaine d’importance qui me jouait des tours ou était-ce seulement ma lubricité entretenue par notre après-midi routier et la chaleur de ce début de soirée qui emportait mon imagination ?
La conscience ou l’inconscience d’Ana de par ses jeux aussi imprévus que constants et mes propres tourments érotiques incessants devant son irradiante et sensuelle beauté me poussaient dans les retranchements du Candaulisme, je m’en apercevais de plus en plus : je l’admirais, j’étais fou d’elle, je voulais la partager, l’offrir, la montrer aux autres, à toutes et à tous combien elle était belle, désirée et désirable, ardente...
Secrètement et subitement je l’imaginais ici, jadis, Déesse ou Princesse dans son palais, offrant sa magnificence, sa présence et jusqu’à son corps à ses plus beaux serviteurs, soldats ou esclaves musclés et vainqueurs, choisis par elle et son Maître (moi ?) comme juste et inespérée récompense des exploits réalisés dans les Arènes, au quotidien à son service ou sur les champs héroïques des batailles...Peut-être même Candaule lui-même m'inspirait-il du lointain de son huitième siècle avant J-C...
Le tout serait de ne pas en mourir!
C’était aussi ma vision du Candaulisme et un bonheur que je ressentais que de la voir se préparer et s’habiller pour aller en soirée...
Plus tard, j’en fis même avec elle un rituel incontournable de nos pratiques Candaulistes, surtout et encore plus quand la soirée ou son rendez-vous devaient se tenir hors de ma présence...
J’avoue que ce sont des instants magiques permettant tellement la plongée vers l’imaginaire constituant la jouissance des protagonistes, en tout cas des Candaulistes avérés.
S’imaginer les émotions suscitées et ressenties par son élégance, sa beauté, sa prestance, ses vêtements, ses parfums, ses bijoux, ses onguents, sa lingerie... mais aussi l’instant où elle apparaîtrait aux yeux incrédules de son ou ses amants, se ferait désirer , admirer, défaire de ses parures choisies ou d’en être défaite par un ou des amants attentifs et rendus fous de désirs... ;
son retour près de moi, avec le pouvoir de me faire languir de ses récits et de son corps ;
me jeter aux yeux, aux mains, à l’esprit, la ou les différences, les effets sur sa libido, sur sa magnificence, sur son charisme, entre son départ et son retour au plus près de moi...;
être attentif aux « griffures », parfois aux "déchirures" sur ses habits ou en son âme de sa soirée.. ;
le bonheur de la voir belle et parfaite ; le plaisir de la voir revenir heureuse épanouie, comblée, confidente et partageuse dans l’attente et l’impatience de pouvoir tout aussi rapidement repartir... ;
être fier et si amoureux d’elle et de ce qu’elle m’ offre, a offert ou va offrir aux autres;
avoir ce délicieux pincement inarrêtable et si puissant dans le ventre en la voyant partir, exacerbé si puissamment tout au long de son absence avec cette impatience de la délivrance, cette inquiétude et cette douceur envahissant le corps et l’esprit quand elle vous revient...
Et pour elle la certitude d’être, si ce n’est la plus belle, la certitude de se sentir Reine et conquérante du monde...
Oui, tout cela me traversa en quelques secondes l’esprit et serait, maintenant je le savais depuis l’avoir rencontrée et parcouru ce chemin de quelques mois ensemble, à jamais en moi...
Le dîner en ville fut rapide et léger et visiblement Ana était impatiente de regagner notre gîte.
Je ne lui en tenais pas grief même si tout était propice en cette soirée à Tarragone à l’abandon sensuel des corps et des esprits, j'en étais à la fois convaincu et un peu "déçu"... Je le ressentais au plus profond de moi, comme si une « vie antérieur » me gagnait et énivrait mon esprit de souvenirs indéfinissables...
Etranges mais agréables instants même si j’aurais aimé en profiter plus longuement.
J’étais également fatigué et, rires, Ana savait toujours être convaincante...
Sa main dans la mienne quasi en permanence, ses baisers aussi soudains que fréquents, sa tendresse et ses sourires me faisaient toujours craquer ! Ils furent nombreux ce soir-là à me faire craquer...!
C’est néanmoins à la nuit que nous fûmes de retour à l’appartement de Consuela.
C’était un soir de pleine lune comme nous l'avait dit Consuela et même de lune exceptionnelle. L'éclairage de la cathédrale et des bâtiments l’entourant était magique...C’était réellement d’une beauté irréelle...Ce phénomène était appelé « lune bleue » et c’était magnifique.
Nous restâmes ainsi quelques instants à nous câliner avec Ana admirant ce phénomène et ses effets...
Ana était réellement fatiguée, m’embrassa longuement et langoureusement et parti se coucher dans le lit situé face à la fenêtre.
Je restais un peu, fasciné par le spectacle et les beautés de l’instant...
J’étais nu, nous nous étions déshabillés instinctivement comme nous aimions le faire aussi chez nous dès en rentrant.
Je pensais prendre une nouvelle douche et je croyais qu’Ana en ferait de même avant d’aller s’étendre de sa lascive beauté sur le grand lit de l’appartement loué pour la nuit.
Elle était réellement ivre de fatigue et s’était étendue en n’ayant pas la force d’aller jusqu’à la salle de bain pour me semblait-il, s’endormir rapidement...
Néanmoins, qu’elle ne fut pas ma surprise d’entendre sa douce voix quelques instants plus tard m’enjoignant à ne plus bouger d’où j’étais...
J’étais toujours devant la fenêtre, d’abord assis puis debout et légèrement de côté...
-« Waaaouaaou...Tu es trop beau chéri...Ne bouges plus , m’intima-t-elle...La lune derrière toi et en face de moi te dessines comme une ombre chinoise et rends ton corps incroyable...Hummm , j’aime tellement...Je peux voir les contours de ton corps et aussi ton sexe qui en devient incroyablement attirant...Tu sais que j’aime ton sexe chéri...Tu ne l’as jamais fait devant moi mais je pourrais te demander de te masturber...j’en ai souvent rêvé tu sais...mais trop souvent impatiente de te prendre en main et en bouche je n’en ai jamais eu l’occasion je crois...Non ?
Je l’ai fait avec quelques-uns de mes premiers amours de jeunesse, mais pas avec toi chéri...Tu pourrais le faire ? J’aimais trop les voir se toucher eux-mêmes et surtout quand ils partaient...Ce n’est pas toujours beau un homme qui se branle, rarement même, mais voir leur sexe quand il délivre sa puissance au travers sa jouissance est quelque chose d’assez unique...J’aime le ressentir dans ma main ou au fond de la gorge, mais j’aime aussi le voir...et là , toi, en ombre chinoise ...hummmm je me caresse en même temps si tu veux savoir...et tu m’excites tellement ! Chéri...S’il te plait...Fais-moi plaisir... »
Demandé comme ça, mes idées lubriques encore et toujours présentes, la situation particulière, ma libido, l’envie de faire plaisir à Ana...
Pourquoi lui refuser même si je préférais de loin le plaisir partagé au plaisir solitaire
Pour autant, le plaisir serait sans nul doute partagé ; même de loin et je connaissais les effets de sa propre masturbation dont elle m’avait, elle, offert maintes fois le si délicieux et sensuel spectacle ; chez Ana...
Ca la rendait généralement assez folle, humide et ouverte à bien d’autres aventures...
Aussi, commençais-je à me caresser...
Mon pieu se tendait rapidement comme assez souvent et j’abusais même en m’imprimant consciemment un rythme lent et appuyé...
Ma main restait ainsi assez longuement en bas de ma verge tendue à l’extrême accentuant généreusement sa dimension et son corps arqué...
Oui je bandais fort, très fort même de me "livrer" ainsi...!
C'est quelque part ce que je demandais à Ana , en tant que Candauliste, de s'offrir, de se livrer...Aussi le retour et le partage ne me semblaient anormal, loin de là...!
Ana visiblement m’accompagnait, je l’entendais au rythme de son souffle et ses commentaires m’encourageais réellement à lui donner un maximum bien qu’indirect plaisir....
Nous allions jouir ainsi...
Il en était certain... !
L’inarrêtable et inévitable arriva et nous partagions nos jouissances, tant cérébrales que physiques ...
Ce fut réellement agréable...
Je décidais d’aller enfin prendre ma douche.
Ana m’arrêta au passage pour me remercier tout en saisissant mon sexe encore durci par l’intensité de l’instant.
Je lui offris les derniers abandons de mes liqueurs...
C’était ça aussi le Candaulisme que ce partage, même à distance, du plaisir des demandes et des émotions...
Elle en imprégna délicatement ses doigts en m’assurant d’un : « Merci mon amour...Tu étais vraiment superbe...j’ai trop aimé...il faudra qu’on recommence un jour » ..., et portant ceux-ci à sa bouche pour en goûter toute la saveur qu’elle appréciait particulièrement puis me prit bouche, de sa bouche gourmande, chaude et sensuelle, venant ainsi me gratifier d’une incroyable et savante remise en condition...
Je durcis instantanément de nouveau... !
Oubliant la douche, je me jetais sur elle et en cuillère la pénétrais tout à la fois virilement et tendrement, m’installant au plus profond de son si douillet et accueillant cocon d’amour...
Nous nous endormîmes pleinement heureux et amoureux jusqu’au petit matin...
Elle fût la première à s’éveiller et se lova tendrement dans mes bras...
- « Mon chéri...Il ne nous faut pas trop traîner tu sais ce matin...On doit régler la dame pour la nuit. Je lui ai dis vers 10 heures. Et nous avons encore pas mal de route pour aller à Madrid. »
J’étais si bien et j’émergeais si doucement de mes rêves et des douces caresses d’Ana...
« Ok... Prems à la douche !" me « vengeant ainsi de notre arrivée hier soir...
Ajoutant tout aussitôt que comme ça j’aurais le temps de descendre acheter quelques « dulces » pour accompagner notre petit déjeuner...
« Ok, fit-elle, c’est toujours toi qui diriges tout de toute façon, osa-t-elle me dire tout en riant aux éclats... »
A cet instant précis, je suis sûr qu’elle devait se remémorer la fin de soirée d’hier cette « chienne » que j’aimais à la folie...
Le petit déjeuner avalé, le ménage refait, las draps ôtés et mis en boule sur le palier, c’est tout ce que Consuela nous avait demandé, nous descendîmes la voir pour la régler de la nuit passée en son bel appartement.
Son immeuble était situé juste en face de celui où nous avions passé la nuit. La Cathédrale était toujours aussi belle et majestueuse et il faisait déjà chaud...
Ana s’était paré d’une combi short en Jeans et à bretelle du plus bel effet...
J’adorais apercevoir, voir les courbes de ses seins si peu retenus, parfois même sortant, par ces bretelles larges mais capricieuses.
Comme elle ne portait pas de sous-vêtements, c’était adorable et vraiment sexy...
Surtout quant à l’aulne de la sortie d’un de ses seins de cet écrin, elle le remettait alors innocemment en place tout en le « grondant » affectueusement ...
C’était si incroyablement et redoutablement sexy et sexe pour ceux qui pouvaient en être témoins...
Rires, cela arrivait souvent !
Ana frappait à la porte...
Consuela apparut élégamment, belle et digne comme elle nous était apparue la veille en nous accueillant.
�� Oh...mes amours...vous êtes déjà levés... ! Pas trop fatigués ? Pour moi aussi la nuit a été courte mais je n’ai pas la route comme vous à faire nous dit-elle. Tout s’est bien passé ? Merci beaucoup et infiniment ! »
Ana lui indiqua qu’on avait suivi ses consignes à la lettre et lui tendit l’argent qu’on lui devait.
-« Non, non...C’est gratuit, pas besoin, repoussant doucement la main d’Ana qui lui tendait l’argent dû »
-« Non fit Ana...Comment ça, on ne vous a pas payée en arrivant hier soir...On vous les doit... ! »
-« Non lui répondit Consuela, je vous offre la nuit, c’est gratuit pour vous... »
Ce faisant, en repoussant le bras d’Ana, elle fit involontairement sortir un sein de dessous la bretelle du combi short de ma compagne ...
-« Oh, pardon, je suis navrée...Quoique, vous êtes si beaux tous les deux...L’appartement est gratuit pour vous...Vous m’avez, vous nous avez tellement donné hier soir, mon mari vous embrasse et insiste pour ne pas vous faire payer la nuit...Oui, vous ne pouvez pas comprendre...Vous nous avez donné tellement sans réellement le savoir que le prix d’une nuit dans un appartement...Tellement plus, insista-t-elle ! »
-« Comment ça dit Ana ? Je ne comprends pas...On ne vous a rien donné...On ne vous a pas vus...Hein Chéri, qu’est-ce qu’on a donné à Consuela...dit-elle tout en saisissant délicatement son sein et en le replaçant.
-« Ca ? ça justement...Oui, ça, enfin pas tout à fait ça mais quelque chose de tout aussi beau et peut-être même plus encore que vous ne pouvez l’imaginer... »
J’avoue que le rouge commença à pourprer mon visage et que je commençais à comprendre
-« Euh...Dis-je...Vous pensez ce à quoi je pense.... ? » ayant compris avec retard ce qui avait pu se passer...Oh, pardon...Désolé si on vous a choqué... »
-« Choquée?...Consuela partit dans un rire très sonore qui enjoua Ana bien qu’elle ne comprenait pas la situation ...Non, vraiment pas choquée, ni mon mari d’ailleurs...Cela nous a rappelé bien des souvenirs...Je vous ai dit que j’étais restée en poste longtemps à Paris et que la vie y était réellement fascinante et , comment dire, plus légère à l’époque qu’ici en Espagne... Nous adorions aller avec mon mari au Moulin Rouge, au Crazy Horse, au Lido et fit-elle en baissant la voix et regardant tout autour d’elle, nous adorions fréquenter les clubs libertins qui commençaient à ouvrir à Pigalle d’abord puis un peu partout et même en banlieue... Oui, nous avons eu une riche, très riche vie sexuelle avec José mon mari et depuis notre retour ici, on en avait presque oublié toute la saveur...
Elle agitait si délicieusement et adroitement son éventail pour ne pas elle aussi rougir que cela en était touchant...
Votre spectacle à vous, très cher « Daniel ? » était de toute beauté...Merci, mille merci. Surtout que mon mari s’inquiétant que je ne sois pas couchée alors que j’admirais ce que vous offriez à mes yeux et à la place de la Cathédrale est venu me rejoindre sur le balcon d’où je vous voyais admirablement bien avec toute l’intensité de cette lune bleue, vous et votre engin dressé à merveille. Brutalement, il m’a sauvagement honorée pendant toute la durée de votre show...Ce fut délicieux...Je m’étais caressée avant seule, comme je l’imagine votre dame a dû le faire en vous regardant j'en suis sûre et j’étais prête à tous les assauts et à toutes les folies...Il y a bien longtemps que nous n’avions ainsi joui tous les deux ensembles. Confidence, je vous ai même mentalement sucé et dégusté pendant que mon mari me labourait. Oui, merci, mille merci...Aussi, non vous ne nous devez rien... Croyez-moi... On aurait payé des fortunes pour s’offrir la vue d’un tel spectacle à Paris et José ne pensait même plus pouvoir me faire l’amour sans cette pilule couleur de lune qu’on nomme le viagra... Là en quelques instants il a bandé comme à ses quarante ans et m’a défoncée contre la rambarde qui en gémissait même bien plus que moi...Oh, Dieu (elle tourna ses yeux vers la Cathédrale...) Dieu que c’était beau et bon... ! Merci...
Allez, partez maintenant, vous avez de la route »
Ana venait de comprendre tandis que Consuela déposait un doux et tendre baiser sur son front et en prenant, la coquine, à pleine mains les magnifiques seins de ma compagne pour les masser délicatement et en faire rugir la pointe...
-« Tu as tellement de charme...J’étais bisexuelle et j’ai eu une aventure torride avec une danseuse du Crazy pendant de longue années...Il y a si longtemps et c'était si bon...José nous accompagnait et regardait ... Il aimait le bougre...J’aimerais avoir vingt ans aujourd’hui, je serais parie avec toi, avec vous en disant à José que j’allais revenir et que je lui raconterai tout comme à l’époque...Je partais deux ou trois jours, deux ou trois nuits surtout et revenais toujours vers José qui était comblé...Je vois qu’a quelques années de différences vous vivez les mêmes délire et la même philosophie de la vie...Soyez heureux mes amours...Soyez heureux...Nous l’avons été et aujourd’hui, cette nuit, vous nous avez fait revivre l’espace d’un si délicieux instant tout ce bonheur...Mille merci ! Longue et belle vie à vous » ;
Nous nous mîmes en route assez incrédules mais tellement satisfaits, fiers et incrédules.
Ça aussi c’était du pur Candaulisme et quand je repense à ces instants j’en comprends encore mieux l’intensité du partage.
Même et surtout sans contact, sans parler, défiant même le temps , de Candaule en passant par Consuela et José jusqu'à nous...
Sans presque nous voir, nous connaitre, nous avions su partager notre amour et nos pratiques pour aller jusqu’à les faire renaître chez un couple qui nous avait lui aussi indirectement ouvert les chemins vers les plaisirs et l’amour tendre, gratuit et sincère du partage...
Dieu que c’était beau ! J'en ai encore aujourd'hui des frissons et des pensées émues...
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L'île d'Aogashima, située au Japon, est une île volcanique faisant partie de l'archipel d'Izu, dans la mer des Philippines. Elle se trouve à environ 222 miles au sud de Tokyo, au Japon. Cette île est la plus méridionale et la plus isolée de l'archipel, et elle reste largement préservée du tourisme. Aogashima est une destination prisée des amoureux de la nature, des explorateurs et des passionnés d'activités en plein air, et elle est réputée pour être un paradis pour l'observation des étoiles.
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About me... 🐈⬛💫
Bonjour à tous ! ☺️👋 Je m'appelle Még, j'ai 29 ans et je suis une fan inconditionnelle de Tokyo Mew Mew depuis de nombreuses années. J'ai découvert cet univers lorsque j'avais 15 ans via l'animé " Mew mew power " , j'ai ensuite lu le manga qui m'a passionné. Et récemment j'ai eu la joie de découvrir le remake Tmm new que j'ai vraiment beaucoup aimé. J'écris beaucoup, j'ai aussi une chaîne youtube dédiée à Tmm et principalement à Kisshu & Ichigo, je les adore ! J'aurai vraiment aimé que leur relation au cours de l'histoire soit davantage poussée et qu'ils terminent ensemble. Je pense qu'il y a beaucoup de scènes intéressantes entre eux deux, davantage de tension qu'entre Ichigo & Aoyama. Bref leur relation ennemi/amoureux me fascine beaucoup.
✨Le lien de ma chaîne youtube : https://youtube.com/@mewangie40?si=lrO1R1EMmzkMoYBC
✨Mon livre : Gardienne de Galatea https://archiveofourown.org/works/59607985/chapters/152028973
" Angie Swan est serveuse au Guardian's café, et vit en bord de mer dans la ville de Jetssort. Alors qu'elle souhaite un peu plus de piment dans sa vie, tout bascule lorsqu'elle apprend qu'elle est la Gardienne dont le destin est de protéger la terre des aliens et d'éviter une apocalypse imminente..."
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Pour trouver sa propre vérité
Trouver sa propre vérité est un thème important pour Claudia, Viren mais aussi Callum. Mais je vais parler de Callum d'abord, dans l'acte 1, il a été introduit comme un jeune homme incapable d'atteindre les attentes de son rôle en tant que prince. Mais quand il a utilisé la magie, il a l'impression d'être bon en quelque chose. Du coup il veut essayer mais Lujanne lui a dit que comme il n'a pas de connexion à un arcanum. Mais malgré tout, il veut quand même essayé. Et du coup essaie de comprendre l'arcanum du ciel. Il se sent impuissant quand il faut sauver Pyrrha bien qu'il décide quand même d'y aller en utilisant la magie noire. Dans son cauchemar, il ne sait pas où aller et se sent perdu. Toutefois arrive le passage où son côté sombre le tente à la magie noire.
Qu'est ce qu'il y a de si mal à la magie noire ? Si ça peut aider ses amis ? Et avec ça, il aura un pouvoir illimité. Et Callum a failli le prendre mais Harrow intervient lui rappelant qu'il est libre et en voyant son côté sombre. Ce dernier refuse et dit que ce sera à lui d'écrire son destin. Et le fait que justement il a dû mal à respirer fait justement parallèle à son père biologique Damien qui avait un maladie respiratoire. Mais aussi Sarai qui sera toujours là pour lui même si elle est plus là. Ce qui lui permet de comprendre l'arcanum du ciel et utiliser le sort aspiro.
La découverte de soi même
Ce qui est aussi important de noter c'est que le voyage de Callum est aussi une découverte de soi même. Il comprend qu'il peut être courageux, aider les autres, voir que ses préjugés étaient faux et renforcer ses principes moraux. C'est aussi parce qu'il a eu la possibilité de voyager, de découvrir Xadia qu'il a pu évoluer et grandir. Mais aussi apprendre à connaître Rayla et finissant petit à petit à tomber amoureux d'elle lui faisant pousser des ailes. D'ailleurs on a une expression qui dit que l'amour donne des ailes et c'est ce qui s'est passé dans le final de la saison 3. Puis arrive la saison 4 où on apprend que Rayla a parti et que ça l'a affecté émotionnellement, Callum n'était pas prêt de lui parler quand elle est venue dans son bureau. Mais j'avais bien aimé la manière dont était géré leur relation dans la saison 4, ils avaient besoin de temps pour enfin comprendre que oui, l'un et l'autre sont là et n'ont pas l'intention de partir.
En revanche, la magie se retourne contre lui quand Aaravos prend possession de lui. L'horreur et la peur que quelque chose puisse arriver à ses proches. Et demande à Rayla de le tuer, elle refuse de le tuer car elle vient tout juste de le retrouver et ne veut pas le perdre. Elle croit qu'il pourra le surmonter car Rayla a été témoin des épreuves qu'il a enduré. Mais c'est quelque chose qui hante Callum et dans l'épisode de Finnegrin, Finnegrin est l'incarnation de la tentation. Il refuse de donner ce qu'il veut car leur point de vue sur la liberté se diffère (J'en parle plus ici). Pour lui la liberté lui a permit de faire ce qui semblait être inconcevable : utiliser la magie primale. Finnegrin prend la liberté des autres pour les contrôler. Et il refuse que sa liberté soit volé par Domina Profundis. Mais avec Finnegrin lui fait comprendre qu'il n'est pas un mage primale mais un mage noire. Et le pousse jusqu'à l'atteindre en s'attaquant à Rayla. Et bien qu'il a pu se libérer de ses chaînes, il a de nouveau utiliser la magie noire. Pourtant malgré tout ça, il a pu se connecter à l'arcanum de l'océan en lâchant prise comprenant qu'il pouvait pas tout contrôler. Pour lui, c'est un échec !
Le côté sombre de Callum
La saison 6 est assez intéressante car son moral est au plus bas, entre les cauchemars qu'il a d'Aaravos et le fait qu'il n'arrive plus à dormir. Il est du coup plus sensible et réagit souvent au quart de tour. Il en devient parano et on a vu dans la saison 4 dans le premier épisode, que ses craintes peuvent être dangereuses quand il croit qu'Ezran est en danger. Ou bien que Callum est fermé émotionnellement parlant. Mais aussi quand il s'est énervé contre Finnegrin pour s'en être prit à Rayla. Il utilise différentes solutions comme créer une couverture empêchant à Aaravos de le manipuler. Après on peut se demander pourquoi c'est aussi grave qu'il utilise la magie noire alors que Viren et Claudia l'ont plus utilisé que lui ? Dans sa tête, c'est pas une bonne chose et dans ses cauchemars, son subconscient empire la chose et ce qui pourrait lui arriver. Quand Cosmos lui révèle que la perle qu'il a amené est un leurre. C'est trop pour lui même quand on lui dit qu'il y a une solution pour le purifier de la magie noire. Il n'a plus le courage de le faire c'est pour ça que Cosmos lui ment et lui permettre de passer le rituel de purification. Dans ce passage, Callum se pose des questions mais ne voit que les ténèbres ne pouvant voir sa constellation. Mais la constellation de Rayla le guide pour être sa vérité. Ce qui lui permet de retrouver une certaine stabilité émotionnelle !
Tu dois me tuer
Donc est ce que ça veut dire que Callum est hors de danger ? Pas vraiment, dans la scène du bateau, Callum a avoué qu'il a utilisé la magie noire. Le ton monte et quand il révèle qu'il a fait ça pour elle. Elle n'aime pas ça, elle sait que Callum tient à faire ce qui est juste et ne veut pas qu'il la priorise. Ce qui est récurrent avec elle dans Lux Aurea, elle veut pas prioriser son envie de revoir sa famille au détriment de la mission principale. Et après s'être échappés du bateau, il lui parle de faire ce qui est bien et demande de le tuer si jamais Aaravos prend possession de lui. Bien qu'il a fait le rituel de purification, ça veut pas dire pour autant qu'Aaravos peut pas l'attaquer émotionnellement. Callum était obsédé à l'idée de se débarrasser d'Aaravos. Donc si il apprend que la perle qu'il a donné est un leurre, il risque de faire une crise d'angoisse. Mais du coup il essaierait justement de trouver une solution pour le voir partir pour de bon. Par contre, je pense pas qu'emprisonner à nouveau Aaravos ou bien le tuer va résoudre quoi que ce soit. La conclusion entre ces deux là, sera sûrement quelque chose dont on s'y attend pas. Donc faudrait voir pour la dernière saison de la série.
To find your own truth
Finding one's own truth is an important theme for Claudia, Viren but also Callum. But I'll talk about Callum first, in Act 1 he was introduced as a young man unable to live up to the expectations of his role as prince. But when he uses magic, he feels he's good at something. So he wants to try, but Lujanne tells him that since he has no connection to an arcanum, there's no way a human can learn primal magic. But despite this, he still wants to try. And so he tries to understand the sky arcanum. He feels helpless when it comes to saving Pyrrha, although he decides to go anyway, using dark magic. In his nightmare, he doesn't know where to go and feels lost. But then comes the part where his dark side tempts him to use dark magic.
What's so bad about dark magic? If it can help his friends? And with it, he'll have unlimited power. And Callum almost takes it, but Harrow intervenes, reminding him that he's free and seeing his dark side. He refuses and says it's up to him to write his own destiny. And the fact that he's having trouble breathing draws a parallel with his biological father Damien, who had a breathing illness. But also Sarai, who will always be there for him even if she's no longer there. This enables him to understand the sky arcanum and use the aspiro spell.
Learning about yourself
What's also important to note is that Callum's journey is also one of self-discovery. He understands that he can be courageous, help others, see that his prejudices were wrong, and strengthen his morals. It's also because he had the opportunity to travel and discover Xadia that he was able to evolve and grow. But it was also because he got to know Rayla and gradually fell in love with her that he grew wings. In fact, there's a saying that love gives you wings, and that's what happened in the season 3 finale. Then comes season 4, when we learn that Rayla has left and that this has affected her emotionally, and Callum wasn't about to talk to her when she came into his office. But I liked the way their relationship was handled in season 4, they needed time to finally understand that yes, both of them are here and have no intention of leaving.
However, the magic turns against him when Aaravos takes possession of him. The horror and fear that something might happen to his loved ones. He asks Rayla to kill him, but she refuses because she's only just found him and doesn't want to lose him. She believes he'll be able to overcome it because Rayla has witnessed the trials he's endured. But it's something that haunts Callum, and in the Finnegrin episode, Finnegrin is the embodiment of temptation. He refuses to give what he wants, because their views on freedom differ (more on that here). For him, freedom has enabled him to do what seemed inconceivable: use primal magic. Finnegrin takes the freedom of others to control them. And he refuses to let his freedom be stolen by Domina Profundis. But Finnegrin makes him understand that he's not a primal mage, but a dark mage. And pushes him to the point of attacking Rayla. And although he was able to free himself from his chains, he once again used dark magic. Yet despite all this, he was able to connect to the ocean's arcanum and let go, understanding that he couldn't control everything. For him, it was a failure.
The Dark Side of Callum
Season 6 is quite interesting because his spirits are low, between the nightmares he has of Aaravos and the fact that he can't sleep. As a result, he's more sensitive and often reacts out of the blue. He becomes paranoid, and we saw in the first episode of season 4 that his fears can be dangerous when he believes Ezran is in danger. Or that Callum is emotionally closed off. But also when he got angry at Finnegrin for going after Rayla. He uses various solutions, such as creating a cover to prevent Aaravos from manipulating him. But why is it so serious that he uses dark magic when Viren and Claudia have used it more than he has? In his head, it's not a good thing, and in his nightmares, his subconscious is making it worse for him. When Cosmos reveals to him that the pearl he's brought along is a decoy. It's too much for him even when he's told there's a solution to purify him of the dark magic. He no longer has the courage to do it, so Cosmos lies to him and allows him to pass the purification ritual. In this passage, Callum asks himself questions but sees only darkness, unable to see his constellation. But Rayla's constellation guides him to his truth. This allows him to regain some emotional stability!
You have to kill me
So does that mean Callum's out of the picture? Not really, in the boat scene, Callum confessed to using dark magic. Tensions flare when he reveals that he did it for her. She doesn't like it; she knows Callum wants to do the right thing and doesn't want him to put her first. This is a recurring theme with her in Lux Aurea, she doesn't want to prioritize her desire to see her family again over the main mission. And after escaping from the ship, he talks to her about doing the right thing and asks her to kill him if Aaravos ever takes possession of him. Even though he's done the purification ritual, that doesn't mean Aaravos can't attack him emotionally. Callum was obsessed with getting rid of Aaravos. So if he learns that the pearl he gave him is a decoy, he's likely to have an anxiety attack. But then he'd be trying to find a solution to see him go for good. On the other hand, I don't think that imprisoning Aaravos again or killing him will solve anything. The conclusion between these two will surely be something we don't expect. So we'll have to wait and see for the final season of the series.
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Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?
Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)
The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
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Lundi
Hier, le ciel étirait son tapis volant. Aujourd'hui, tout se complique, s'obscurcit. La vie n'aime décidément pas la légèreté. La guitare aérienne de Wes Montgomery plane pour rien dans la pièce. Le vent se lève et l'orage est annoncé. Je m'inquiète des prochains jours, mais en attendant, tournent les pages... Nina Bouraoui fait partie des auteur(e)s que j'aime relire. Quand bien même tout nous sépare, elle sera toujours ma sœur, ma nièce préférée, mon amie : J'ai un destin amoureux. J'ai plusieurs vies. J'ai plusieurs corps sous mon corps. Je suis au début de tout. Je suis à la fin des jours heureux (Nina Bouraoui, "Poupée Bella").
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AU BOUT DES PAGES
Hey les papivores 2.0, aujourd’hui nous allons plonger dans un univers mélancolique. Katherine PANCOL célèbre romancière française, est une écrivaine dont le style se caractérise à l’américaine marqué par de nombreux dialogues et ses récits qui décrivent souvent des destins chaotiques de femmes indépendantes.
ROMAN
« Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi », Katherine PANCOL.
Le PITCH, d’abord !
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Mon AVIS, humblement !
Belles tranches de vies que nous livre ici, en grand chef, Katherine Pancol, tartinées tantôt de miel, tantôt de pâte à tartiner bon marché, mais toujours accompagnées de son fameux tea time dont elle seule à le secret.
On lui pardonnera sans problème cette éternelle histoire d'amour manquée entre Philippe et Joséphine (mais où va-t-elle chercher les prénoms de ses héroïnes ??), mais on l'attend au détour des traits de cet étonnant Junior, surdoué improbable qui casse quelque peu la véracité des propos.
Bien moins malin celui qui trouvera dans ces pages le fil rouge qui a fait le succès de l'opus précédent (La Valse lente des tortues)... on le cherche mais on ne le trouve point, perdu qu'il est peut-être entre les tourments de cette croqueuse d'Hortence (décidément, les prénoms sont un mystère pour Madame Pancol... ) et les pérégrinations de cette bonne vieille Henriette.
Toujours est-il qu'une unité de ton se propage dans les méandres de cette saga familiale à l'américaine, digne des meilleurs Dallas, un questionnement uniforme sur le rapport étroit entre hommes, à l'image du Petit Jeune Homme, vers de terre amoureux d'une étoile filante, de Gary poursuivant un père fantoche ou de Junior devenant un homme au contact du paternel.
Pancol nous en met plein la vue cette fois, en nous faisant entrer dans de nombreux mondes qui nous sont contemporains : celui des affaires internationales, évocant cette "crise financière" si proche de nous ; celui du "gratin" parisien, celui de l'écriture et de sa longue introspection ; une belle galerie de personnages, connus ou nouveaux, nous est alors donnée en pâture, donnant au livre un beau relief qui explique ses presque 1000 pages. Le lecteur en a pour son argent, il est content, content également de refermer ce troisième opus, dernier d'une longue saga qui menace de tourner en rond s'il propose un quatrième volet.
Bref, un écrin brillant et divertissant comme on les aime aujourd'hui, même s'il souffre de quelques incongruités.
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A new song from the upcoming Miraculous movie just came out, so here is a transcription of the lyrics with my translation. 🫶
Plus forts ensemble (Stronger Together)
Elliott:
Dans ma vie, tu es entrée comme par magie.
Comme une étoile qui brille dans la nuit,
Tu es apparue.
In my life, you entered as if by magic.
Like a star shining in the night,
You appeared.
Lou:
Mes sentiments ne trichent pas quand tu es présent.
Tu as effacé mes tourments,
La peur a disparu.
My feelings don't cheat when you are present.
You erased my torments,
The fear has disappeared.
E: Prends ma main !
Both: Nos chemins parcourent le monde,
Nos destins sont liés maintenant.
Et ce soir, toi et moi, montrons au monde
Que rien ne peut nous séparer.
Take my hand!
Our paths travel the world,
Our fates are linked now.
And tonight, you and me, let's show the world
That nothing can stand between us.
L: Grâce à toi, je connais ce qu'est vraiment la liberté,
Tu as su retrouver l'étincelle qui me manquait.
Coeurs et âmes, associés,
Plus forts ensemble pour l'éternité.
Thanks to you, I know what freedom really is,
You knew how to find the spark I was missing.
Hearts and souls, connected,
Stronger together for eternity.
E: Mes chagrins ne sont rien dès que je sens ta présence,
Mon regard dans le tien est bien plus qu'une évidence.
Coeurs et âmes, associés,
Plus forts ensemble pour l'éternité.
My sorrows are nothing as soon as I feel your presence,
My eyes in yours is more than evident.
Hearts and souls, connected,
Stronger together for eternity.
L: Quelle est cette émotion ? Je ne peux voir que lui.
Dès qu'il prononce mon nom, l'univers me sourit.
What is this emotion? I can only see him.
As soon as he pronounces my name, the universe smiles at me.
E: Dans son regard, j'ai rencontré l'amour.
Je voudrais que ce soir dure pour toujours.
In her gaze, I met love.
I want this night to last forever.
L: Désolée, mon cœur est déjà pris.
J'en oublie qui je suis,
Je m'en vais c'est mieux.
I'm sorry, my heart is already taken.
It makes me forget who I am,
It's better for me to go.
E: Reste un peu, on est bien tous les deux.
Je te fais un aveu,
Je suis amoureux.
Stay a little, we're good together.
I confess,
I am in love.
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«Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
(Emmanuel Macron, 24/11/2020)
La Verneinung se traduit le plus souvent en français par dénégation... L’exemple vient de Freud: lorsqu’un de ses analysants lui raconte un rêve et dit: "qui que soit cette femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère..." Freud en conclut que bien entendu il parle de sa mère. Dire en niant ne dit pas moins que dire en affirmant...
Comme remarque Lacan: «La Verneinung n’est que la pointe la plus affirmée de ce que je pourrais appeler "l’entre-dit", comme on dit l’entrevue.»
Notons également que le président parle au "je" : «Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
Le roi qui se prend pour le roi n’est il pas plus fou que le fou qui se prend pour le roi? Pour le psychanalyste, la normalité, c'est la psychose. Mais psychose et folie ne se recouvrent pas. Normal ça veut dire qu'il y a une norme, or il n'y a pas de norme sexuelle, et c'est bien pour ça qu'on passe son temps à inventer des normes sociales. La norme mâle... Névrose («je ne veux pas savoir»), psychose («je ne peux pas savoir») et perversion («je sais bien mais quand même») sont les trois structures de langage incorporé, nul sujet n’échappe à la structure.
NB: Le noyau psychotique est la norme, car c'est l’universel pour chaque sujet de ne pas pouvoir savoir...
Toujours dans la même allocution, Emmanuel Macron dit aussi: «Nos concitoyens ont besoin en effet d'avoir une vie, si je puis dire(...)»
Monseigneur est trop bon. Vraiment….
Tomber malade ou amoureux…
Toutes les gesticulations gouvernementales vides autour du covid (confinements, masques, couvre-feu, etc.) ont autant d’impact sur la propagation du virus que les danses tribales pour faire tomber la pluie... (En fin de compte, ce qui se sera passé en Suède en donnera la confirmation...)
Le véritable point saillant est toujours le rapport du sujet à la peur, la jouissance de la peur, l’instrumentalisation de la peur et son corrélât fantasmatique: l’illusion de la maîtrise.
Tomber malade n’est pas sans rapport avec tomber amoureux, cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, le sujet sent la maîtrise lui échapper, d’où l’impression de "tomber", et ensuite il (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui aura échappé à la chaîne des causes et des effets...
Si je me questionne sur les "raisons" qui me font tomber amuoureux, j'ai beau énumérer ses qualités, je sais que ce n'est jamais "ça"... Ce qui m’aura attiré en l'autre, c'est un "je ne sais quoi" qui n'appartient pas à la série des raisons objectives, c'est peut être même l'index d'un défaut... Formellement, tomber amoureux a la structure d'une décision. Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons, le fameux "nachtrag" freudien que l’on retrouve dans la "performativité rétroactive du signifiant" chez Lacan...
C'est parce que suis déjà tombé amoureux (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a effectivement échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui se trouve dès lors marqué du sceau du Réel...
Dans "ce qui se passe", cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
L’impasse "culpabilité/victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration (le "complotisme" d’aujourd’hui), c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle des gens du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... Comment dès lors ne pas piger l’importance dans l’idéologie de la profusion et l’entretien des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en soufflant l’effroi, afin que le plus grand nombre possible de nos concitoyens soit maintenu en suggestion de victimisation (qui à tout prendre, puisqu’elle est "socialement reconnue" sera préférée aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc, pour le sujet qui en émerge, rien d’autre au monde qu’un objet petit a, conformément à l’écriture de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung. Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective formulée par Kant de la sortie de notre propre "minorité"...
En inventant la psychanalyse il y a plus d’un siècle, Freud nous interdit désormais de faire comme si nous ne savions pas que les mots savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.
L’actualité du malaise dans la civilisation, c’est une époque malade comme jamais de la déliquescence du langage, et cette déréliction produit la vraie pollution, la pollution la plus toxique, la mère de toutes les pollutions.
Ce qui s’appelle Discours Capitaliste, dans l’acception lacanienne, ce n’est pas le discours tenu par des capitalistes, mais un effet de structure qui fait que le sujet croit qu’il est le maître des signifiants, et la langue en usage un simple instrument à sa disposition...
Nos sociétés occidentées soi-disant «progressistes et tolérantes» s’élèvent ainsi à des sommets de crétinerie autoflagellatoire jamais atteints historiquement...
Du temps des Grecs anciens, la «société» se mettait en scène pour les dieux, aujourd’hui elle se donne en spectacle à elle-même, dans une représentation permanente, répétant inlassablement dans les médias ou sur les réseaux dits sociaux le lexique et la syntaxe du discours dominant, s’imaginant qu’elle pourrait ainsi atteindre au «sourdre de la source» à partir de l'eau stagnante des égouts.
Le sujet du Discours Capitaliste qui croit s’opposer au capitalisme a autant conscience d’être pris dans un discours que le poisson a conscience de l’eau dans laquelle il baigne.
Se poser en s’opposant renforce ce à quoi on s’oppose.
La première révolution accessible au sujet est celle d’avoir osé faire un tour sur soi-même, à savoir le tour complet des quatre discours, aller et retour, afin de prendre en lui-même l’immarcescible sujet de l’énonciation dans ses propres énoncés.
Cela s’annonce avec le Discours de l’Analyste.
Comment la considération politique aujourd'hui pourrait-elle faire l’impasse sur ce qui, dans son acception stricte lacanienne, se définit d’être le Discours de l'Analyste?
Le Discours de l'Analyste ce n’est pas le discours tenu par les psychanalystes (rares parmi ceux qui se disent «psychanalyste» sont à la hauteur de ses exigences) c'est au contraire le Discours qui, en tant que structure interdéfinie avec les trois autres Discours (plus un), soutient le destin des quelques uns qui ont choisi de se mettre délibérément à son service ; le Discours de l’Analyste c’est avant tout le lien social déterminé par la pratique d’une analyse.
Pour que ce lien social ait été mis à jour, encore aura-t-il fallu que l'objectif de la cure ait été atteint, autrement dit la dissociation de a et A ait été correctement menée, car si cette «séparation» n'a pas eu lieu (étape logique succédant à l'aliénation) l'Autre continue de fonctionner comme un grand Autre non castré, non barré, entier, représentant absolu du domaine de la nécessité, qui contient sa propre raison, alors que l'opération qui sépare l'Autre de sa cause, place cette cause à la fois hors de la sphère du sujet, et hors de la sphère de l'Autre, c'est à dire au point de leur impossible intersection.
Le Discours de l'Analyste est ainsi le seul Discours qui permette au sujet, qui s’y prend délibérément, d’assumer sa division constitutive, tout en déterminant sa confrontation au Réel, à laquelle il est forcément convoqué puisqu’il en est partie prenante.
Le Discours de l’Analyste non seulement permet de rendre compte que de notre position de sujet, nous sommes toujours responsables, mais la position du psychanalyste ne laisse pas d'échappatoire puisqu'elle exclut la tendresse de la Belle Âme, comme elle exclut toute prétention à l’objectivité pure.
Le Discours de l'Analyste ne commande pas, et en ceci il est déjà l'envers du Discours du Maître, il ne commande ni ne recommande, ce qui permet de se dégager des sempiternelles pulsions de soumission et de domination, de séduction et de manipulation, une prise de distance avec l'Autre qui - grâce à un «jeu des places», où la place vide se différencie de ce qui l'occupe, sujet ou objet - offre la promesse d'un lien social authentique renouvelé, basé sur la parole qui engage, l'autre (qui est là) ayant pris le pas sur l'Autre (qui n’existe pas).
Lacan parle de sortie du Discours Capitaliste, ce qui ne signifie pas encore la sortie du capitalisme.
Raison pour laquelle il ne manque d’ajouter: «Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains...» (Télévision)
Se mettre au service du Discours de l’Analyste implique pour nous que d'une part nous ayons compris que nous n'avons pas d'autre rayon d'action véritable et réel que d’intervenir sur les Discours, la psychanalyse étant une clinique du discours et un Discours, et d'autre part que nous refusons de végéter sur le «mode survie» – la survie utilitaro-hédoniste, pauvre en événements, principale préoccupation de beaucoup de nos contemporains: "un peu de poison par-ci par-là: cela donne des rêves agréables. Et beaucoup de poisons pour finir: cela donne une mort agréable. On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit, mais l'on révère la santé. Nous avons inventé le bonheur, disent les derniers hommes, et ils clignent de l'œil." (Also sprach Z.)
Nous rejetons donc radicalement l'idéologie libérale de la victimisation, laquelle réduit la politique à un programme d'évitement du pire, au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option la moins mauvaise – car nous ne sommes pas sans savoir que, comme Arthur Feldmann, un écrivain juif viennois, l'a amèrement noté, "notre survie se paie généralement au prix de notre vie."
La survie vaut-elle le coup d’être survécue?
Aimer, c’est changer de discours.
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Les petites cabanes et le moulin de Gouville-sur-Mer - Août 2021
Sur la côte normande, niché dans le charmant village de Gouville-sur-Mer, se trouve un trésor caché: un ensemble de petites cabanes et un moulin à vent qui offrent un panorama idyllique sur la Manche. Les cabanes, construites en bois et aux couleurs vives, se dressent fièrement sur la plage de sable fin. Elles invitent à la détente et à la contemplation, offrant un abri paisible face à l'immensité de la mer. Que ce soit pour se relaxer au soleil, lire un livre ou simplement profiter du clapotis des vagues, ces cabanes sont un véritable havre de paix. Le moulin, quant à lui, se dresse majestueusement sur une parcelle à la sortie du village. Construit au 18ème siècle, il a été restauré avec soin et abrite aujourd'hui un musée pédagogique qui retrace l'histoire de la meunerie et de la vie rurale en Normandie. Le site des petites cabanes et du moulin de Gouville est une destination idéale pour les amoureux de la nature et de la tranquillité. C'est un lieu unique où l'on peut se ressourcer et profiter de la beauté des paysages normands. Camera: Canon EOS 2000D Objectif: Canon EF-S 18-55 IS II Post-production avec Skylum Luminar 4 Read the full article
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